Le fil d’araignée pourrait se révéler un des matériaux les plus intéressants pour cette fibre. Tout d’abord c’est sa finesse extrême qui joue énormément dans cette application de l’ordre nanométrique. De plus le fil d’araignée est en mesure, grâce à sa supercontraction, de s’associer à des nanotubes de carbones qui lui permettraient d’être conducteur et ainsi de conduire les signaux électriques nécessaires au guidage neuronal lors de la régénération. Enfin le fil est biocompatible, ce qui est une qualité extrêmement importante pour pouvoir porter les cellules en cours de régénération.